le Sanctuaire, un lieu de repos et de confession (ouvert à qui veux se soulager)

Il était tard, il faisait froid se soir la, le ciel est clair et remplis d’étoiles, une lune rouge brille dans le firmament, c’est se que l’on pourrait appeler une belle nuit pour la chasse à l’impur.

- « A qui on aura donné beaucoup il sera beaucoup demandé, et a qui on aura confié beaucoup on réclamera davantage. »,Luc, XII, 48.

Pourquoi se verset me revient en tête, sans doute parce que c’est bien se que l’on attend de moi, la confiance, je dois tuer et encore tuer, l’impure et l’infidèle au nom de notre Seigneur. Pas de pitié et pas de repos. Je meurs de faim et j’ai besoin de repos, ces purifications de se soir furent rudes.

Au loin, le doute n’est pas permis, un sanctuaire s’offre à moi et je me souviens de la Bulle de notre Saint Père, il m’est tout à fait possible de quérir asile et protection pour se soir en tout cas. J’espère pouvoir trouver un rapide logement dans cette immense cité.

- « A l'homme, il (Dieu) dit: - «A la sueur de ton visage - Tu mangeras ton pain, - Jusqu'à ce que tu retournes au sol - Puisque tu en fus tiré. - Car tu es glaise - Et tu retourneras à la glaise.» Genèse, III, 19

Mon travail fut long aujourd’hui et j’ai plus besoin que jamais d’un lieu saint ou me reposer. Je prends la direction indiqué et me dirige vers la porte, je tape à celle-ci. Un moine vient m’en ouvrir l’accès.

- Bonsoir mon fils, il est tard et nous ne faisons plus d’office à cette heure ci, revenez demain.

Voulant refermer la porte je du la bloquer, ceux-ci ne semble plaire au prêtre mais je me hâte de lui tendre ma missive. Il en prit connaissance.

- « Ad Augusta per Occulta ». Mon père soyez le bienvenus dans ma modeste paroisse, entrez vous trouverez ici tout le nécessaire pour votre repos.
- Merci mon fils, puisse le ciel te protéger toi et ton troupeau de fidèle, va me quérir je t’en prie d’un peut de nourriture et également de quelques un de vos archive, je sais que vous avez pour mission de mettre sur écrit les faits et geste du monde temporelle.
- Oui Monseigneur.

Il ne lui fallut que quelques instant pour revenir, il me tendit tout se que je lui avais demandé puis pris congé de moi, m’expliquant que dans se pays les prêtres ne séjourne pas dans leur paroisse, concept que j’ai encore du mal à comprendre. Plus tard reposé et avec plus de connaissance de ces derniers mois, je ne résiste plus et m’abandonne au bras de Morphée. Quelques heures plus tard je me réveille frais et dispos, je me change car des vêtements sanglant ne font pas des plus discrets, je ne trouve que ma sombre robe, je la revêt et me décide toutefois à aller prier pour le salut de l’âme des damnées que je dus occire et pour le futur de mes victimes.

Psychic spies

7h' du mat' tapantes. Alors que je n'étais pas encore caféiné et tout juste nicotiné, je prenais la route des quartiers sud pour me rendre à l'église tout en maronnant entre mes dents. Quelques minutes plus tot, une désagréable voix à travers le tout aussi désagréable grésillement de ma radio m'avait éveillée d'un sommeil inconfortable. D'ailleurs, je vous met au défi de trouver une place confortable sur le siège avant d'une jeep, et surtout pour faire un somme. Quoiqu'il en soit, désormais, mon regard, alourdi par des cernes tenaces, était rivé sur l'asphalte abîmé qui, entre autre, indiquait que j'avais franchi la limite des quartiers suds.

"O'Campo. Tu t'es endormi ou quoi? Je te rappelle que tu es en mission. On ne t'as pas récupérer pour te payer à rien foutre. Le chef du groupe à été repéré en train de traîner près du cimetière. C'était ton boulot normalement. Alors bouge ton cul et va lui régler son compte."

- Enculé va !

Cet homme qui m'avait beuglé ses ordres comme à un chien, c'était le remplaçant de Wayne m'avait on dit. Mais contrairement à l'homme qui avait été mon boss par le passé, je n'avais aucun respect pour lui. Ce n'était qu'un pauvre mec qui s'engraissait un peu plus chaque jour à force de beugler des ordres et de se plaindre à longueur de temps. Il ne tarderait pas à goûter à la semelle de mes rangers. Mais pour le moment, j'avais besoin de lui et des autres, pour que dans leur imbécilité, ils me dévoilent petit à petit la vérité, ce qui s'était vraiment passé depuis que j'étais officiellement morte. Alors en attendant j'obéissais aux ordres. Je faisais en sorte de contenir la colère qui n'avait de cesse de monter en moi. Par la suite, je m'offrirais une douce et belle vengeance, aussi froide que cet enfoiré de Peter quand je me serais occupé de ses bourlets abjects.

Pour le moment, je devais retrouver la trace d'un dit "chef de gang" qui avait à plusieurs reprises essayé de s'introduire dans le Hive et qui avait à chaque fois réussis à échapper aux soldats de garde. Finalement, c'est moi que l'on envoyé pour pallier à leur incompétence. Mes mains se crispèrent sur le volant. Ca avait le don de m'énerver. Putain de merde. J'étais Rain O'Campo, je n'étais pas une sous merde dont on se servait pour essuyer les bavures.

Tout en marmonnant un "bande de cons" entre mes dents serrées j'augmentais vivement le son de mon autoradio qui laissait entendre une vieille chanson de Rammstein.

Quelques minutes passèrent et ma voiture s'arrêta dans un crissement de pneu qui ne fut sans doute pas sans laisser des traces. Je faisais le tour du cimetière. Avec minutie, ne vous méprenez pas. J'étais toujours perfectionniste dans mon travail, mais ça, ce con de Peter Doyle n'avait pas assez de couilles pour se l'avouer. Lorsque je me retrouvais à tourner en rond, avec un R.A.S sur les bras, je tournais les talons pour retourner dans ma jeep dans l'optique de me prendre un bon café à l'Anthem. Mais il faut croire qu'aujourd'hui n'était pas mon jour, et d'un coup d'oeil j'avais vu une silhouette pénétrer dans la chapelle. Au pas de course, athlétique et régulière dans mes foulées, je lui collais au train.

Tu vas comprendre ce que ça coûte de dispenser Rain O'Campo d'un café espèce de prépubère.

Une fois devant la lourde porte en bois massif, à demi rongé par les intempéries et le reste, je sortais mes deux flingues de service, gardant précieusement mon colt personnel dans mon dos, dissimulé sous mon débardeur blanc dont la coupe était propre aux militaires. En ce qui concerne le bas, j'avais la tenue des UBCS. Celle que j'avais l'habitude de porter il y a longtemps. Je ne prenais même pas la peine d'éteindre ma clope qui trônait entre mes lèvres et m'offrais une entrée fracassante.

- Alors petit con .. Ou est-ce que tu te cache?

Je n'avais pas parler bien fort, mais les voutes de pierre avaient avec aisance porté ma voix. Après avoir parcouru d'un coup d'oeil l'ensemble de l'espace, je voyais un homme près de l'autel. D'un pas qui ne se voulait pas discret, je me dirigeais vers lui. Il ne réagissait pas à mon approche. Sans ménagement aucun, je pointais le canon de mon arme sur sa tête abaissée vers le sol, tirant une taffe sur ma clope. Je l'attrapais entre mes doigts pour dégager la fumée de mes poumons. Une fois cela fait, je lui adressais quelques mots.

- C'est l'heure de se confesser mon grand et non de se repentir.

Hum... une femme ici, armée... restons calme, tu es un prêtre se soir...

J'ignore totalement la peur... Le seigneur est toujours avec moi et contre mes ennemis.

Toujours à genoux, je sentais qu'elle me tenait en joug....Oh dieu tout puissant comme j'ai envie en cette instant de pourfendre le Dragon jusque dans les enfers.

Une lente respiration profonde... à la limite du souffle, je me redresse, ignorant même le fait qu'elle semblait me retenir de quelques doigts et lui fait volte face, devant moi au plus prés une arme, une femme plutôt énervé et enfin une odeur de clope.

-Bien le bonsoir mon enfant, l'heure est plus que tardive et la maison de dieu n'est pas un lieu ou il est autorisé de hurler, faire du bruit, fumer et surtout porter une arme, ne savez vous pas mon enfant :" Alors un de ceux qui étaient avec Jésus, portant la main à son épée, la tira, en frappa un des gens du grand prêtre, et lui coupa l'oreille. Mais Jésus lui dit: Remettez l'épée au fourreau, car tous ceux qui se serviront de l'épée périront par l'épée."

En cette fin de citation la lumière fut, non pas un miracle, mais ma main à porté de l'interrupteur murale, lui montrant ainsi un prêtre en habit officiel quoi que différente à la soutane habituels, plus sombre et un symbole étoilés sur le coeur.

La fixant dans le blanc de ses yeux et avec un calme habituel

-Enfin ma fille, la confession et le repentir sont à la fois oeuvre de dieu mais aussi oeuvre de l'homme, on n'ordonne pas à dieu, on implore à genoux sa miséricorde.

-Que me vaut cette tardive visite, une confession...?

Psychic spies

L'homme semblait comme immobile. Paralysé. Par la peur, c'aurait pu être probable. Néanmoins, son attitude me laissait entendre qu'il ne cédait pas à la panique. D'abord sa respiration était calme et silencieuse. De plus, il n'avait toujours pas commencé à me supplier de toutes les manières du monde pour que je l'épargne de quelque mal que ce soit. Je supposais donc qu'il n'était pas utile que je le pointe de mon arme. Cependant, je restais méfiante et la gardais au poing, le bras le long du corps. Je reculais d'un pas ou deux, juste de quoi nous laisser respirer.

"Bien le bonsoir mon enfant, l'heure est plus que tardive et la maison de dieu n'est pas un lieu ou il est autorisé de hurler, faire du bruit, fumer et surtout porter une arme, ne savez vous pas mon enfant :" Alors un de ceux qui étaient avec Jésus, portant la main à son épée, la tira, en frappa un des gens du grand prêtre, et lui coupa l'oreille. Mais Jésus lui dit: Remettez l'épée au fourreau, car tous ceux qui se serviront de l'épée périront par l'épée." "

Dans un soupir, j'avais levé les yeux au ciel tandis que je cessais de l'écouter à partir du "et surtout porter une arme". Dans le cas contraire, soit j'aurai été acerbe et insultante dans mes propos, soit mes doigts se seraient crispés autour de mon arme.. et de la détente. Il me semblait donc tout de même préférable d'occulter ses dires pour éviter des débordements qui auraient pu s'avéraient encombrant.
Quoiqu'il en soit, il se vengea de mon arrivée qui ne semblait pas avoir été à son goût en me dirigeant une lumière vive au niveau des yeux. Je ronchonnais quelques mots avant de me protéger de mon bras pour dans le même temps me décaler de quelques pas.

"Enfin ma fille, la confession et le repentir sont à la fois oeuvre de dieu mais aussi oeuvre de l'homme, on n'ordonne pas à dieu, on implore à genoux sa miséricorde. Que me vaut cette tardive visite, une confession...?"

Il avait le don de m'exaspérer avec ses paroles bénies et dégoulinantes d'imbécilité. Dans un soupir, je lui jetai un regard assez sec, tout en expirant ma dernière bouffée de fumée. Me ravisant d'être trop provocatrice, je cherchais une seconde ou deux un endroit pour jeter mon mégot, avant d'opter pour ma poche latéral d'uniforme. Parallèlement, je répondais à ses interrogations.

- La maison de dieu comme vous dites qui se transforme en salle d'interrogatoire à la nuit tombée? Ou bien en repaire pour gamins ... qui sait.

S'il était perspicace il relèverait la petite remarque qui en disait long sur ma considération des prêtres et de toute cette administration futile.. Je ne lui laissais pas de temps pour la répartie et préférais enchaîner sur le reste, ce qui m'avait emmené en ces lieux habituellement désertés de ma personne.

- D'ailleurs, en parlant de ça, vous n'auriez pas vu un gars entrée dans votre antre par hasard? Et .. Je vous déconseille de mentir, ça n'plairait pas au petit Jésus..

J'accompagnais mes dernières paroles d'un sourire narquois, toujours à l'affut du moindre mouvement, du moindre bruit, au milieu de cette église encore trop assombrie, à cause d'un soleil qui se faisait trop timide en ce début de matinée.

Je savais que mes sermon étaient plus que futiles, après tout les chiennes de Babylone ne retienne pas la rédemption. Peut m’importe. Elle s'éloigne un peut de moi; Je décidais de l’écouter jusqu’à la fin me déverser son venin.

- La maison de dieu comme vous dites qui se transforme en salle d'interrogatoire à la nuit tombée? Ou bien en repaire pour gamins ... qui sait.
- D'ailleurs, en parlant de ça, vous n'auriez pas vu un gars entrée dans votre antre par hasard? Et .. Je vous déconseille de mentir, ça n'plairait pas au petit Jésus..

Ses mots je ne pus me contenir d’un beau sourire, cependant mes yeux se seraient certainement mis à flamboyer des feus de l’enfer si ils avaient put.

-Le sanctuaire du Seigneur mon enfant n’est pas une salle d’interrogatoire à la nuit tombée, considérez mes questions comme celle d’un homme qui ne peut qu’observer une intrusion plus que inattendu et pris par l’émotion ne peut que posez diverses questions. Quant à votre remarque, qui concerne les enfants, sachez que tous les membres du clergé ne sont pas forcément atteints de cette démence sacrilège, pour ma part, j’encourage notre Saint Père pour que notre ordre prennent des mesures plus que draconiennes concernant les chiens de Caïn.

Soupire, puis se reprend

-Ahhhh parlez ainsi du fils de Dieu, vous n’avez donc que si peut de considération ou de respects pour le sacrée. Toutefois je pense pouvoir répondre à votre question.

Le prêtre lui désigne le côté gauche de l’autel, on ne pouvait le voir au début à cause de l’obscurité et si on n’y prêtait pas attention même à la lumière toutes personnes étrangères aux services n’aurait jeté un œil, étendue sur le sol le corps d’un gars, il n’est pas mort mais à eut une sévère correction.

Quelques instants avant l’arrivé de l’agent

-Putain cette salope me lâche plus…Vous êtes qui…

Se sale fils de chien à bien faillis souiller se sanctuaire,attend mon fils, je m’en vais te donner la leçon que tu mérite, porc…

La porte est violement ouverte

- Alors petit con.. Ou est-ce que tu te cache?

Le père se remet à genoux devant l’autel…
Retour au moment présent.

-Il à été bon que le seigneur le fasse trébuché sur la marche de l’autel, il perdit l’équilibre et à cogner violement la tête sur le sol, mais il vit, j’allais appeler les représentants de l’ordre mais il semble qu’un de ses alliés soit venus le récupérer… armée, je ne peux donc que me soumettre au jugement de Dieu.

Psychic spies

"Ahhhh parlez ainsi du fils de Dieu, vous n’avez donc que si peut de considération ou de respects pour le sacrée. Toutefois je pense pouvoir répondre à votre question."

Un léger sourire étira mes lèvres. Il n'avait rien d'ironique. Je ne faisais que réaliser que cet homme ne m'était pas si antipathique qu'au premier abord. Sous l'énervement, je m'étais abandonnée à mes avis premiers sur le monde de la religion et du clergé. N'allez pas croire cependant que j'allais changer mon regard simplement grâce à quelques mots échangés et une bonne impression. Non, j'étais toujours convaincu que tout cela n'était que du blabla et une perte de temps, ce qui n'empêchait pas, en revanche, de pouvoir apprécier la répartie ou la conversation de la personne même.
Avant de faire un quelconque commentaire, je laissais l'homme continuer.

"Il à été bon que le seigneur le fasse trébuché sur la marche de l’autel, il perdit l’équilibre et à cogner violement la tête sur le sol, mais il vit, j’allais appeler les représentants de l’ordre mais il semble qu’un de ses alliés soit venus le récupérer… armée, je ne peux donc que me soumettre au jugement de Dieu."

- C'est ça, laissez le moi, et il ne vous gênera plus, ne vous en faites pas.

Mon ton était moins agressif. J'appréciais le geste qu'il venait de faire. Après tout, il aurait pu protéger ce môme et ne pas me le livrer. Ceci dit, j'avais l'impression que cela l'arrangeait bien, et s'il était aussi fervent qu'il semblait l'être, mentir ne devait pas faire partie de ses activités favorite.

J'allais donc récupérer le gars que j'étais venu chercher, qui était maintenant à demi inconscient. Il y eut un court silence à la suite de cela, et j'allais tourner les talons, mais j'adressais encore quelques mots au prêtre.

- J'vous r'mercie. J'peux p't'être vous aider avant de vous laisser .. ?

Mon éthique voulait que ce soit donnant donnant. Il m'avait rendu service, et si je pouvais, je le lui rendrais. Prévenant la probable absence de demande, je commençais déjà à tourner les talons, tenant fermement le jeunot par le bras.

- J'vous r'mercie. J'peux p't'être vous aider avant de vous laisser .. ?

- Mon enfant je ne suis qu'un humble serviteur de Dieu dans ma modeste paroisse et je vous remercie de votre solicitude, mais cela ne sera pas necessaire, ah un léger détails, notre Eglise est ouverte pratiquement tout les jours n'hésitait pas si vous souhaitez vous receuillir ou même vous conféssez. Allez en paix ma fille.

Je me retourne vers l'intérieur de l'église prenant le temps d'éteindre les lumières, laissant la demoiselle seul avec son prisonnier et sans doute à son destin

J'aurais peut être du la tuer.... Non elle n'à pas l'air coupable, j'espère qu'elle refermera la porte derrière elle.

En cette nuit j'eu du mal à retrouver l'envie de dormir, non pas que cette demoiselle ou que cette incident m'est troublé mais j'aurais peut être du lui dire qu'il avait fui, j'aurais put ainsi le crucifier se porc...

J'arriverais pas à me rendormir, autant lire un peut

Sur le livre : "Comment ne pas tuez automatiquement les gens qui vous seront peut être proche"

Psychic spies

OG : Bon & bien voilà, je crois que nous pouvons cloturer le sujet. Par contre, ton poste est un peu court. Il faudrait quelques lignes de plus ^.^ Si tu peux décrire par exemple ce qu'il fait après que Rain soit partie, ce qu'il pense de cette entrevue, etc ..
Enfin, ce ne sont que des exemples, mais ça peut te rajouter facilement quelques lignes.

Au plaisir d'un prochain Rp (encore Wink

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