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[PV Rusalka Boskonovitch] » Une arrivée nostalgique... Je ne sais pas, mais merdique, ça c'est sûr...

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« Il est peut-être temps de faire une pause, après 7 ans de voyage... »


    Enfin, ce maudit panneau m’indiquant que je suis arrivé à Darkness Falls. J’ai oublié, depuis combien de temps je marche... Mon vagabondage a débuté après la destruction de Raccoon City, 1998… La mort de mes parents, j’ai tué, éliminé ce qu’il restait d’eux, le fruit des expériences diaboliques d’Umbrella Corporation… Ville sombrée dans la chaos, elle qui faisait aveuglément confiance à Umbrella Corp au départ… Des monstres atteint du virus-T… Des zombies… Rien que d’y penser ça m’écœure, il m’arrive même d’avoir des pulsions de haine, et pourtant je suis quelqu’un de très calme, allez savoir…

    Salut Darkness Falls, nous sommes en 2005, et en hiver, j’adore cette saison, les rues sont vides et calmes, sauf quand il neige, les enfants hurlent et courent, ça m’agace, mais allez voir de la neige à Miami, là où j’ai grandis… Putain qu’est-ce que j’ai pu voyagé, je suis allé jusqu’en Alaska, avec ma moto qui subit mes caprices depuis 7 longues années… 7 années de vagabondages, je n’avais que 16 ans, très peu d’adolescents sont capables de faire un tel Road Trip en solo j’imagine. Mais après les horreurs de Raccoon City, voyager seul, sans savoir si j’allais pouvoir manger demain, n’était presque rien… Bon d'accord j’exagère un peu, j’ai l’héritage de mes vieux, mais la seule fois où je l’ai utilisé c’était pour ma moto, j’avais claqué tout mes sous, suite à mon arrêt en Californie, j’ai fais deux fois le plein avec leur argent… Sinon sans plus, la moto appartenait à mon père, une légendaire Kawasaki Z2. Elle a du kilométrage au compteur, bien que je ne m’intéresse pas vraiment à la mécanique, et aux voitures, j’aimais bien cette moto. Rapide, légère, et elle tombe rarement en panne ce qui est pratique quand on parcourt des centaines de kilomètres sans croiser qui que ce soit…

    Revenons à nos moutons, je me tenais là, devant cette ville, le casque rangé dans le coffre de ma moto, le moteur était coupé, j’avançais lentement en la tenant par le guidon. Il me semble que durant une époque je lui avais donné un petit nom affectif, Jessica, ma Kawasaki Z2 s’appelait Jessica, bien que je n’ai rien à faire des objets, je lui avais donné un nom, en plus de la solitude, c’était ma deuxième amie la plus fidèle. Je jetai un coup d’œil au ciel, il était gris, avec des nuages bien plus foncé, un temps comme je les aimais. Il faisait frais pour moi, un temps de merde et un vent glacial pour les autres… Je portai ma veste en cuir, légère mais elle tenait plutôt chaud, et une chemise grise à moitié ouverte en dessous un t-shirt mauve foncé, avec des motifs stupides.

    J’avançais avec méfiance, après tout, si je suis ici c’est parce qu’on m’a dit que cette ville avait quelques points communs avec cette putain de ville qui a été exterminé, foutue Raccoon. Je vis un trottoir qui me semblait être le bon endroit pour laisser Jess’. Je poussai la voiture jusqu’au trottoir, j’ai ouvert le rangement sous ce qui me servait de fauteuil, j’ai tiré mon sac, un gros sac de sport, plutôt léger, et puis avec mes deux mains je me suis munis de mon antivol, une énorme chaîne, je la jetai au sol me disant que c’était inutile de l’attacher, après tout, je ne porte pas beaucoup d’importance aux objets. Au moment où j’allais ranger mon casque, j’entendis un grognement tristement familier…

    Je jetai un coup d’œil au rétroviseur de ma moto, quelle joie, un zombie, ça faisait longtemps, je sautai sur l’énorme chaîne qui me servait d’antivol, mais plus souvent d’arme, contre ceux qui cherchaient des ennuis. Je me relevai, sans quitter des yeux le zombie, je reculai à une distance raisonnable. Voyant qu’il ne bougeait plus, je fis un tour sur moi-même pour prendre de l’élan, et je lâchai ma chaîne pile au bon moment, le zombie vit sa tête décollé lors du passage de la chaîne à travers son visage, il s’écroula sur le sol.

    • Vous ne m’avez pas manqué…

    Je pris Jessica, et je posai la roue arrière sur le zombie qui était dos sur le sol, agonisant. Je démarrai la moto, et faisait tourner la roue arrière de plus en plus vite sur le tronc de cette bête. Elle gesticulait, elle pouvait plus hurler vu qu’elle n’avait plus de tête, après lui avoir détruit sa cage thoracique et tout ce qui se trouvait à l’intérieur, je montai sur Jessica, et je roulai à allure modéré, le moteur était à peine audible, avant de quitter le zombie, je fis un demi-tour, et j’écrasai sa tête qui se trouvait quelque mètre derrière sa carcasse. Je roulai pendant 10 petites minutes à travers la ville pour prendre connaissance des lieux, mes cheveux dans le vent s’agitaient je tenais mon sac sous le bras, ma roue arrière était assez sale, et laissait une traînée visqueuse après son passage sur le béton. Donc j’avançai vers le sud de la ville. Je décidai de m’arrêter sous une enseigne, « L’Hôtel Existence ». Un nom bien niais je trouvais, je restai assis sur ma moto, l’air penseur. Je marmonnai ou je pensais à voix haute, je ne sais pas, je ne fais jamais attention, après 7 années tout seul, il fallait bien que je parle à voix haute de temps à autre.

    • Alors comme ça il y avait sujets atteint du virus-T ici aussi, les rumeurs qui traînaient à Los Angeles n’étaient pas fausses… Intéressant, mais tout autant inquiétant…

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Rusalka Boskonovitch

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Il y avait bien longtemps que je n’étais plus sortie de ma tour. Depuis ma tentative de suicide les choses avaient biens changés. Je ne pouvais pas dire combien de temps j’étais restée chez moi sans donner signe de vie… J’étais bien trop mal en point pour aller dehors de toute façon. GLaDOS, l’intelligence artificielle qui vivait dans les murs de mon appartement avait fait ce qu’elle avait pu pour me permettre de survivre mais ces compétences en soin étant limitées, elle avait annihilée ma mémoire ainsi que ce qui me permettait de ressentir des émotions. La peur, la rage, l’amour… Je ne ressentais plus rien. Plus de frissons lorsque je voyais un zombie, plus de sensation bizarre en regardant un film à l’eau de rose. NADA. Elle me disait que c’était surement mieux ainsi et lorsque je lui demandais de me raconter qui j’étais avant, elle changeait de discussion. La curiosité aussi été secondaire, c’était simplement pour comprendre le genre de personnes que j’avais pu être dans un passé lointain.

Lorsque je fus en état de tenir debout toute seule, je repris ma place au sein des S.T.A.R.S même si ces derniers pensés que j’étais morte. Je n’avais pas tellement envie de répondre à leurs questions au sujet de ce qu’ils m’étaient arrivés. On sortait parfois des noms qui devaient avoir du sens dans le passé mais qui n’en n’avait plus actuellement. Tony Falcony… On avait travaillé ensemble sur plusieurs missions et d’après mon chef Kilik, il y avait beaucoup plus entre nous… Je ne me souviens de rien, c’est une étrange sensation.

Mais bref, après cela je me remettais dans le bain de la chasse aux zombies. J’avais peut être perdue la mémoire mais mes reflexes étaient toujours opérationnels. GLaDOS m’avait réveillée vers 8 heure ce matin là afin d’effectuer la mission de reconnaissance qu’on m’avait confié. J’étais sortie une dizaine de minutes plus tard avec une paire de botte en cuir montant jusqu’aux genoux accompagné d’une jupe en jean plutôt courte ainsi qu’un débardeur dans une teinte grise avec une oreillette posée sur l’oreille. Un moyen comme un autre de garder le contact avec quelqu’un ou quelque chose.

GLaDOS : Un homme présente des symptômes avancés du virus à l’hotel existence, même s’il a été mise en quarantaine par un employé courageux, il faudrait mieux le neutralisé avant que les choses n’empirent.

Ok ! Je savais ce que j’avais à faire maintenant. Montant dans la Pontiac Trans Am Firebird, je mis le contact avant de sortir rapidement du garage. C’était une vieille voiture mais plus solide et maniable que n’importe quelle voiture de notre époque. Tout était si familier à son bord. Si je n’avais conduit qu’une voiture dans ma vie c’était celle-ci. Parcourant la ville de rue en rue à une vitesse que le code de la route n’autorisé pas, je vis la ville changer peu à peu de forme. De la lumineuse cité on passait à une ville fantôme. Contenir l’infection s’était la politique de cette ville. Est-ce une bonne idée ou non, je n’avais pas d’avis sur la question. Je n’avais rien à perdre à part ma vie… Juste une S.T.A.R.S ce n’était pas grand-chose, on pouvait facilement me remplacer en un claquement de doigt.

Montant doucement le volume de la radio qui passait une chanson de 30 seconds to Mars, je fis monter ma voiture dans les tours. Je tentais de me concentrer sur la musique, GLaDOS disait que l’art et la musique raviveraient peut être ma capacité à ressentir les choses. J’écoutais les paroles, les traduisais dans ma langue natale : « Tu en sais assez pour connaître le chemin, Six milliards de gens, juste un nom (J'ai trouvé), J'ai trouvé demain dans aujourd'hui, Apocalyptique et démentiel, Mes rêves ne changeront jamais. » Mes rêves ? Il faudrait déjà que j’en ai pour qu’ils changent…

Non je ne comprenais pas la thérapie qu’elle me faisait suivre, elle n’avait pas de sens à mes yeux et il ne devait pas en avoir beaucoup plus pour elle. A force de divergé sur les raisons de cette thérapie, j’arrivais rapidement à mon point de rendez vous. C’était un parking à un angle de rue de l’hôtel… Coupant le moteur de la voiture avant de sortir avec mon colt et mon fusil à pompe dans le dos, je me dirigeais vers l’entrée ou se trouvé déjà un homme. Apparemment externe a la situation, s’il n’avait rien remarqué c’était que les choses ne devaient pas aller si mal.

- Et si seulement les choses s’arrêtaient là, ca ne serait pas si mal…

Je montais à sa hauteur avant de le regarder un instant dans les yeux. L’avais-je connu dans le passé ? Non son visage ne m’évoquait absolument rien. Me récitant dans la tête, ce qu’on m’avait appris je finis pas lui dire.

- Cette zone est dangereuse, monsieur, veuillez vous éloigner s’il vous plait.

Qu’est-ce que j’en avais à faire qu’il soit là ou non… Mais le protocole, c’est le protocole…
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« Faire son malin au risque de se prendre une méchante droite bien méritée en pleine face… »


    J’étais posé sur ma moto, dans ce parking, sous l’enseigne de l’hôtel, et j’attendais, je ne savais pas quoi, mais j’attendais. C’était calme, très calme, voir trop calme… J’entendis un moteur rugir, au son je dirai une ancienne, ayant fait beaucoup de route, je sais plus ou moins différencier l’ancienneté d’une voiture au son du moteur, bien que les voitures ne m’intéressent pas le moins du monde, simple moyen de transport à mes yeux.

    J’étais toujours assis de profil sur ma moto, je fixais le sol et par moment je jetai des regards furtifs vers le ciel, ou devant moi. Ce ciel gris foncé, et ses nuages encore plus sombres étaient toujours présents. Le bruit de moteur se faisait entendre de plus en plus fort, puis je relevais la tête, une pontiac entra dans le parking, elle s’arrêta, et une demoiselle portant une jupe plutôt courte à mon goût et un débardeur sorti de la voiture, elle ne craignait pas le froid ma foi…

    - Cette zone est dangereuse, monsieur, veuillez vous éloigner s’il vous plait.

    Je ne bougeais pas, je ne réagissais pas, fixant mes paumes, je réfléchissais, une éternité dans ma tête, 5 secondes dans la vie réelle. Cette phrase, je l’ai déjà entendu quelque part… Raccoon City… Je jetai un rapide coup d’œil à son ombre, elle était dur à discerner car le ciel était sombre. Mais je cru voir une sorte de manche dans son dos… Je ne l’avais toujours pas regardais, je fixais de nouveau mes paumes de mains.

    • Cette phrase… Sonne faux… Non… On dirait que vous aviez été formaté... Une phrase bateau que l’on vous force à dire alors que ma vie vous emporte peu.

    Je relevai aussitôt ma tête, une jolie fille, avec une longue cicatrice, mais elle restait jolie, et puis faut dire que son débardeur la mettait plutôt en valeur, et surtout elle en avait une plus grosse que la mienne… Pas frustrant quand il s’agit d’arme à feu, il faut savoir s’en servir, avoir la plus grosse arme à feu ne change pas la donne lors d’un combat, enfin pas beaucoup. Mais pour se balader librement et s’adresse à un inconnu avec une phrase sortant du bouquin « La Police pour les Nuls » elle devrait être formé, ce n’est pas mon Colt Python 357 Magnum, si j’ai le temps de le sortir, qui fera l’affaire face à un fusil à pompe.

    Pourquoi parler d’affrontement alors que je n’aime pas me battre, et puis contre une jolie fille aux yeux… vide d’émotion?! Son regard m’intriguait, il semblait vide… Puis je remarquais son oreillette… Oreillette sert à la communication, la communication est utile au sein d’une organisation… Comme toujours à partir d’un détail, j’arrive à tirer de bonne conclusion. Allons jouer avec les gens, pour qu’une fois de plus je me prenne une sacrée droite en pleine gueule sur un malentendu…

    • La dernière fois qu’une personne m’a dit cette phrase, elle fut tuée juste après.

    Je me suis relevé, je n’allais pas lui laissé le temps de me répondre, ou de me tuer. Et d’un air détaché, sur un ton blasé, ce qui donnait une situation quasi-comique.

    • Mais bon, cette personne faisait partie des S.T.A.R.S et elle fut tué par un sujet atteint du virus-T à Raccoon City, si seulement il m’avait écouté au lieu de faire le malin. Paix à son âme.

    Je soupirai longuement et bruyamment, il n’était que 8h30 du matin, j’allais pouvoir faire un tour en ville et trouver un endroit où pieuter avant la nuit.

    • Bon je vois que c’est votre boulot que de prévenir les gens, et de tuer les méchantes bestioles, je ne vais pas vous causer de soucis, et m’en aller de ce pas. Je vous souhaite une bonne journée.

    Je rangeai mon sac dans mon coffre, me munit de mon casque et je le cala au fond avec mon sac, je ne l’enfilai pas, je me posai sur ma moto, je sorti ma paire de gant de cuir, et les enfila. Je rangeai la béquille, et démarra d’un coup ma Kawasaki Z2.

    • Au fait, si par « cette zone est dangereuse » vous vouliez dire « Attention il y a un zombie qui rôde ». Vous n’avez plus de soucis à vous faire à ce sujet, il est à 50 mètres d’ici, je m’en suis occupé, question d’habitude. Sur ce, bonne journée jolie demoiselle.

    Je démarrai et je roulai d’une allure modérée vers la sortie du parking. Si elle souhaitait me dire quelque chose, elle n’avait qu’à m’appeler je l’entendrai certainement.


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Effectivement, je n’arrivais pas à ressentir la moindre émotion en faisant ce boulot au plus grand bonheur ( ?) de mon chef et de GLaDOS apparemment. Quelqu’un qui ne laisse pas aller ses émotions dans une mission est toujours appréciable car les émotions violentes sont souvent mauvaises conseillères. Il suffisait de voir les films bateau pour comprendre cela. Qu’est-ce que les héros pouvaient être stupides la plupart du temps… Je ne m’imaginais pas faire les mêmes erreurs dans le même contexte. C’était tellement hors de la réalité. Mais l’homme qui se trouvait en face de moi avait vu parfaitement juste. J’avais été formatée à sortir ce genre de chose dans des situations pareilles.

- Il n’y a rien de personnel… Que ça soit votre vie, celle d’une autre personne ou la mienne, je me fiche de ce qu’il peut arriver. Tout est inéluctable... Je suppose que vous êtes un survivant de Raccoon City… Votre vie ne doit pas valoir beaucoup à vos yeux non plus si la seule chose que vous avez trouvé à faire, c’est de revenir dans un endroit infecté par le virus-T.

GLaDOS : Tu as la chance d’être en contact avec un humain. Laisse-moi-t’aider à stimuler ton cerveau avec cet extrait de musique classique.

Je ne connaissais pas cette personne alors à quoi bon essayer de stimuler ma mémoire. C’était bien le moment tiens. Jetant un nouveau un regard à cette personne qui ne m’inspirait rien d’autres que de l’indifférence, je vis son regard se porter sur moi, me déshabillant sans aucune pudeur. Me tournant finalement vers la porte de la bâtisse, je pris le fusil à pompe entre mes mains avant de vérifier qu’il était bien armé et prêt à être utilisé. L’une de mes oreilles continuait à écouter cet extrait de musique classique qui ne semblait pas se terminer, tandis que l’autre côté, j’entendais la voix du jeune homme qui me disait que la dernière fois qu’on lui avait dit ça, la personne était morte et que qui plus est cette personne faisait partie des S.T.A.RS. Alors c’était bien ça. Cet homme venait de Raccoon City.

- Cette personne n’était pas assez compétente pour remplir sa tache. Ce n’est pas mon cas…

Je ne pensais pas nécessaire de lui jeter un regard de plus. Peut être que la personne était justement morte pour lui avoir tourné dois comme je suis en train de le faire actuellement… Non, cet homme était peut être antipathique mais il n’avait pas l’air d’être un tueur de sang froid. On n’a pas deux fois l’occasion de faire une première impression. Je n’étais peut être pas une spécialiste des sentiments mais il n’était pas dur de savoir ce que les gens avaient derrière la tête, rien qu’en regardant leurs yeux.

C’était une manière un peu simple de décrire mon boulot. Je tuais les méchants zombies, certes mais je ne faisais que prévenir les humains, la plupart de ceux que je croisais se trouver dans des sacs pour ceux qui acceptaient une morte définitive. Alors que j’entendais la moto s’éloigner doucement, un autre bruit attira mon attention… Un bruit qui me semblait assourdissant m’obligeant à retirer mon oreillette. Des plaintes… Des gémissements… Ces bruits étaient tellement significatifs. Tournant la tête vers la moto qui été sur le point de s’en aller.

- Hé !

Je vis que son conducteur avait le visage tourné dans ma direction, étant ainsi dos au danger. Faisant pivoter le fusil a pompe dans mon dos grâce à la lanière, je pris mon colt avant de me mettre en joue et de tirer une balle bien précise qui rafla sans aucune doute l’oreille du jeune homme avant de finir sa course entre les deux yeux du zombie qui se trouvait peut être à 1 mètre de lui. Il était clair qu’il n’y avait plus rien à sauver ici.

Un autre gémissement se fit entendre derrière moi. Il était bien trop proche à mon gout, faisant une balayette en me retournant, je sentis la jambe se briser sur le passage avant que le corps ne tombe lourdement au sol. Mais il fallut une cartouche dans la tête pour que le corps demeure immobile définitivement.


- C’est sans doute ce que vous appelez vous être occupez de la zone dangereuse…
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« Il court, il court le virus-T, le virus-T des labos secrets… ♫»


    Vous avais-je déjà dis que je possède un sang-froid hors du commun ? Je me dirigeai vers la sortie du parking, je tournai une dernière fois la tête vers cette demoiselle, et en regardant de nouveau devant moi, un zombie bavait sur ma jolie coupe de cheveux, je n’ai à peine eu le temps de réfléchir à la délicieuse manière de le détruire que je sens un objet brûlant et en métal effleuré ma joue ne serait-ce qu’un dixième de seconde. Une longue et très fine plaie sur ma joue, trop superficielle pour une cicatrice. Un filet de sang s’écoulait le long de ma joue, pour ma part, je trouve ça classe, ça rajoute un peu de virilité, et puis c’est super sexy, une petite blessure au visage ça à tendance à attendrir les demoiselles, le nombre de job que j’ai pu avoir grâce à ça…

    Mais cette demoiselle m’a tout l’air d’avoir été formaté au sens propre du terme, un simple « Hé » pour me prévenir qu’elle allait tirer, elle m’a gâché mon plaisir. Mais je n’allais pas rester sur ma faim apparemment, après qu’elle se soit occupé d’un autre zombie derrière elle, un autre débarqua soudainement face à moi. Vous avais-je déjà dis que ma moto était légère ? Il me semble que oui, j’accélérai et appuya brusquement sur le frein avant, Jessica et moi nous retrouvâmes sur la roue avant, avec mon poids je fis pivoter à toute vitesse la moto et la roue arrière fracassa la tête du zombie contre le portail du parking,

    • Y en a beaucoup trop, c’est anormal, aucun zombie pendant un long moment, et là on sera croirait sur Broadway…

    Je me résignai et décidai à rejoindre la demoiselle au parking, j’accéléra un bon coup, et en 5 secondes j’étais à ses côtés. Il y avait trop de zombie autour de cet hôtel… Ce m’intrigue, c’est n’est pas normal. Je suis nouveau, mais quand il s’agit de zombie je m’y connais. D’un coup je me suis mis à chantonner, d’une voix très basse.

    • Il court, il court le virus-T, virus-T des labos secrets, il court il court le virus-T, l’virus-T des labos secrets.

    Et là, je vis quelque chose que je n’ai jamais vu, pas même à Raccoon City, quelque chose qui m’aurait fait éclater de rire, mais pas devant cette demoiselle, rire face à un zombie qui sautait du troisième étage de l’hôtel pour s’en prendre à mon interlocutrice qui semblait savoir se défendre, je serai passé pour un mec totalement taré. Je soupirai, et je dégainai mon magnifique Colt Python 357 Magnum, un magnifique jouet, je ferma un œil pour le style, et de profil je tira une balle RDX, ce sont des balles que je fais maison, enfin ce qui me sert de maison, au lieu d’une poudre ordinaire, j’y glisse du RDX c’est un explosif à combustion rapide bien plus puissant que la T.N.T. Bref, je tirai une balle dans la tête du zombie, l’explosion a repeint une partie de la façade de l’hôtel… Crade, oui c’était l’adjectif adapté, amusant… D’un point de vue personnel, je prends un plaisir malsain à tuer ses putains de malades atteint du virus-T. Ils m’ont prit mes parents, mes amis, ma vie géniale à Raccoon … Tsss, nostalgie, ça ne me ressemble pas, mais j’en revois pour la première fois depuis 7 ans. Bref, j’ai tué un zombie pour la protéger, et un autre sur mon chemin, nous étions à égalité.

    • Je m’appelle Nate, et … et je vois que vous n’en avez rien à faire, de toute manière c’était de simples formalitées. Pfffioouuu, il y a trop de malade ici, trop pour que ce soit normal. Je crains que nous ayons à faire à une zone dangereuse. Je crains que l’hôtel soit infecté… Mais bon, on doit avoir tué la moitié des malades qu’il doit y avoir si c’est le cas, si on en juge par le nombre de véhicule dans ce parking, il doit y avoir 19 personnes, sans compter le personnel, vu la tête de l’hôtel, je dirai 10 personnes au grand maximum…

    Démonstration de savoir ? Je n’en savais rien, quand je commence à réfléchir, je parle de plus en plus vite, il m’arrive presque d’oublier de respirer. Je n’attendis pas une réponse de sa part, je me retournai vers ma moto, je sorti mon sac, et en tira un beau fusil à pompe, et 4 balles RDX ainsi que 10 balles normales. On ne sait jamais. Je repose mon sac, claqua le coffre, et me dirigeai vers l’hötel d’un pas décidé. Ce lieu est infecté c’est un fait.

    • Tu ne devras pas appeler tes amis des S.T.A.R.S ? Moi j’y entre, si tu m’arrêtes, en plus des zombies tu devras t’occuper de moi. J’étais aussi efficace qu’un membre du S.T.A.R.S alors que je n’étais qu’un sale gosse. A toi de voir, ou alors tu te décides de désinfecter l’hôtel avec moi.
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Je penchais la tête légèrement sur le côté à l’écoute de sa réponse. J’avais l’impression d’avoir déjà entendu ça quelques parts. C’est une zone dangereuse… Ah mais oui c’est ce que je lui avais dit il y avait moins de cinq minutes de cela. Mais nous n’en étions plus à ce stade à présent. Alors que je le vis revenir avec moi avec sa moto dont il s’occupa de plusieurs zombies avec, je m’occupais d’un gros lard affamé qui sortait ses dents noirs de crasse et de caries vers moi. Un coup de crosse dans le ventre avant de lui faire manger le canon de mon colt.

Je ne pourrais pas décrire la sensation que j’ai lorsque que je combats ces monstres, je n’éprouvais ni plaisir, ni haine. Ce n’était que des déchets que j’emmenais à la poubelle, rien de plus… Leurs odeurs révulsaient mon corps qui me donnait des légères nausées mais à part ça rien alors que lui, semblait prendre un plaisir malsain à voir cette chair en putréfaction colorer les murs des immeubles ou le béton. Il devait avoir une bonne raison de les haïr, une bonne raison de se battre. C’était peut être le pas qu’il me manquait pour comprendre ce qu’il s’était passé.

Je sentis du sang tomber sur ma joue tandis que je vis le cadavre s’éclater sur l’asphalte dans une mare de sang coagulé. Je fis un signe positif de tête en direction du nouveau venu. Replaçant mon oreillette, je m’approchais de l’homme avant de me mettre dos à lui de manière à couvrir tous les angles possibles.


- Appelez-moi Sally…

Et puis il se décolla de moi avant de s’approcher de son véhicule pour récupérer des affaires à lui. Des armes, tellement communes et disponibles en Amérique que même un enfant de dix ans arrive à en avoir. C’était un civil mais il savait parfaitement ce qu’il faisait. Normalement si je voulais faire mon boulot correctement, il faudrait que je lui dise d’arrêter immédiatement et de se mettre à l’abri histoire qu’il ne soit pas blessé. Mais sincèrement je n’en avais rien à faire… Rechargeant mon arme, je n’écoutais plus ces arrogantes paroles avant de pousser sur le pas de la porte. Il voulait faire son héro, grand bien lui fasse, qu’il ne m’empêche pas de faire mon boulot.

- Mets ton arrogance au placard, ca nous fera des vacances…

La rue était redevenue calme, la vague était terminée néanmoins il y avait toujours ce bourdonnement de cri dans ce bâtiment. Posant ma main sur la poignée, je me rendis rapidement compte qu’elle était verrouillée. Hmm… Puis-ce qu’on ne peut pas passer par l’entrée de service, passons par une entrée non conventionnelle. Reculant de quelques pas, je vis que l’architecture de l’hôtel était constituée de telles manières qu’on pouvait poser un petit pied sur les creux de la façade. Le troisième étage était bien loin mais ca valait le coup d’essayer. Mettant mon colt dans son holster et le fusil dans le dos, je me mis à escalader la façade de manière à atteindre la première fenêtre à porter.

Je ne me souvenais pas d’avoir fait de la gym quand j’étais petite mais je n’éprouvais aucune difficulté à escalader cette paroi. J’avais perdue de vue ma connaissance, peut être avait-il trouvé un moyen plus simple de rentrer dans cet hôtel. Après plusieurs minutes d’escalade, je finis par atteindre la fenêtre la plus proche de moi, et de là, il n’y avait plus un bruit. Un silence de mort. A présent accroupis sur le bord de la fenêtre j’essayais de voir à travers la vitre fermée et la pièce sombre, un mouvement. Mais il n’y avait rien… Enfin dans les apparences, car alors que j’allais briser la vitre, quelque chose le fit avant moi. Un cadavre fit voler la vitre en éclat manquant de me faire tomber dans le vide.

Néanmoins j’avais une prise solide à la fenêtre, ce qui m’évita le pire et me permis d’entrer enfin à l’intérieure de la bâtisse.

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« Même pas vrai d’abord, je ne suis pas arrogant… Non pas du tout…»



    Non vraiment, elle n’était pas aimable, froid, sans cœur, qu’a-t-elle bien pu subir pour être dans un état aussi mauvais que celui-là ? Pauvre fille, sous mes airs moqueurs et confiants, j’étais froid, et haineux et légèrement mélancolique face au virus-T, mais j’étais incapable de le montrer, il fallait que je fasse l’abruti. Après m’avoir sèchement rembarré Sally se mit à escalader la façade de l’hôtel… Pourquoi se casser la tête ? La porte verrouillée n’était pas un souci, crocheter me prendrai 30 secondes, mais c’est trop à mon goût. Je soupirai et la laissai monter sans ne rien dire.

    •Je passe par l’intérieur, voir s’il y a du monde à sauver.

    Je m’avança vers la porte, et je fis un saut en tournant sur moi-même, dos à la porte, je détendis ma jambe pour donner un puissant coup de pied vers la poignet, celle-ci n’a pas résister au choc. Je pu rentrer sans soucis. Bizarre cette Sally, une simple balle dans la poignet le tour est joué, elle fait parti des S.T.A.R.S des munitions sont facile à trouver pour elle. Moi non, je ne devrai pas m’amuser, je dois les économiser, faire d’une pierre deux coups… Bonne idée, en passant à la cuisine, une casserole et une louche pour les attirer au toit, et une bombonne de gaz… Petite avec une balle RDX ça fera l’affaire, je peux tout faire péter d’un coup, en minimisant la casse pour cet hôtel.

    Coup de chance, cette porte de service me menait directement à la cuisine, oh surprise, trois zombies entrain de cuisiner, marrant, à mon entré ils relevèrent la tête, et eurent besoin d’un temps de réflexion, sans attendre, je pris ce qui me passa sous la main, une planche pour couper la viande, je la jeta assez fort comme un frisbee ce qui brisa la tête d’un des trois zombies en deux, je sautai sur la table, et me munit de deux couteaux de cuisine, je les jetai simplement entre les deux yeux des deux zombies restants. 3 cadavres en décomposition avancé dans la cuisine, je souhaitais pour eux qu’ils ne subissent pas d’inspection sanitaire dans la semaine…

    Je me munis d’une casserole et d’une louche, et je fouillai dans les placards, chouette j’y avais trouvé mon bonheur, quatres petites bombonne de gaz, celle qu’on utilise pour dorer les crèmes désert, et je tapai dedans d’un rythme régulier, avec quelque pause, pour demander s’il y avait quelqu’un de saint dans ce foutu hôtel infecté. J’inspectais le reste du niveau, pas de sous-sol, nickel. Je me dirigeai vers la réception, je tapai trois fois dans la casserole, puis je chantonnai.

    • Si tu as peur, et que tu ne ressemble pas à une de ses horreurs, active toi, et pars de cette endroit. ♫

    Oui j’étais calme, un peu trop, mes coups de casseroles avait alerté tous les malades de ce niveau. Ils étaient deux, et trottait dans ma direction, je tournai la tête vers l’accueil et je vis une main tremblotante dépasser du bureau.

    + Je suis là monsieur, laissez moi partir.

    • Vous êtes sourd où quoi ? Dégag… Attendez ! Regardez-moi…

    Putain, ce mec était contaminé, mais son stade était très peu avancé, il n’avait que leur regard. Ce putain de regard, je n’avais pas le choix, j’allais devoir l’abattre, mais comment lui faire comprendre que c’est pour son bien. Je perdis mon air calme et serein, et j’adoptai une expression plus mélodramatique, et triste, voir même désolée.

    • Vous êtes contaminé… Vous allez les ressembler dans pas longtemps, je dois vous abattre pour votre bien…

    Je chargeai mon Colt Python 357 Magnum d’une balle ordinaire, tout en guettant les zombies qui se dirigeaient vers moi, je m’excusai auprès de l’homme, et je tirai pile entre ses deux yeux, en une fraction de seconde, il était mort, je perdis cette air calme et serein. Avoir abattu un gars toujours conscient m’a plutôt foutu les nerfs. Je vis les zombies arrivé du couloir, je tapai dans la casserole deux coups, ils étaient dans le hall, je me dirigeai vers l’escalier et je montai toujours en vérifiant s’ils me suivaient toujours. Même opération au premier étage, Sally était montée au premier étage, je la croiserai sûrement ici. Les zombies avaient accéléré le pas, je trottai légèrement toujours dans une concentration assez élevée, mon expression faciale avait changé, je pense que j’avais l’air déterminé avec une pointe de haine sur le visage, « Je vais les abattre ses merdes ». Je repris ma pollution sonore je tapai dans ma casserole, et hop voilà 4 zombies derrière moi maintenant. Sally sorti d’une salle, je ne la regardai pas, je continuais, une fois à son niveau je lui adressai la parole d’un ton sec et froid totalement différent de sur le parking. Oui, abattre cet homme toujours conscient m’a foutu les boules.

    • Plus personne en bas, eux… Tu me les laisses

    Je pressai le pas vers le second étage, que deux zombies au premier, Sally a du faire le ménage dans chacune des pièces. Second étage, elle prendra sûrement l’ascenseur, elle a forcément une longueur d’avance sur moi, je dois attendre les malades dans les escaliers. Tsss heureusement qu’il n’y a que 4 étages. Deuxième étage, je ne récoltai que deux zombies une fois de plus. Troisième un seul, et le quatrième et dernier étage avant le toit, trois zombies, au total une petite troupe de dix zombies trottai derrière moi, je n’avais pas le droit à l’erreur. Voilà me voilà enfin sur le toit, je fis des tours du toit pour que tout mes poursuivants aient le temps de monter, et au passage je posai mes petites bombonnes de gaz, elles formaient un large triangle avec en son centre une bombonne de taille moyenne. Je jetai la casserole et la louche dans le vide et je préparai mon Colt Python 357 Magnum toujours en faisant des tours, les sujets atteints du virus-T me suivaient comme des moutons.

    • Tsss… Game Over…

    Je fis un bond au centre du triangle, j’attendis trois secondes que tout les zombies soient proche de moi, et je fis une roulade vers les escaliers, une fois sur les marches, je tira avec une de mes balles RDX sur la bombonne du milieu, à peine ai-je appuyé sur la détente je bondis au palier au bas des marches, une grosse détonation, le centre du triangle, suivit d’une autre plus forte, les trois sommets de mon triangle. Je remontais les marches, pour voir si j’avais bien réussi… Il en restait de la bouillie… Au sens propre du terme, je descendais les marches en direction du rez-de-chaussée.

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Alors que j’analysais la pièce dans laquelle je me trouvais, j’entendis un nouveau bruit assourdissant. Néanmoins ca n’’avait rien à voir avec ce que j’avais pu entendre jusqu'à maintenant. Ce bruit n’était pas provoqué par les gémissements ou la respiration des zombies, non c’était plutôt un tintamarre bruyant qui frisait les oreilles. Et quelques choses me disaient que c’était la personne portant le nom de Nate qui le créait. Qu’est-ce qu’il lui passait par la tête au juste ? S’il comptait attirer tous les zombies vers lui, je pense que c’était gagner mais je n’entendais rien d’autres que ce bruit agaçant à présent. Le bruit se faisant de plus en plus fort, j’ouvris la porte de la chambre avant de voir passer l’hurluberlu avec des bombonnes et ces casseroles.

Haussant les épaules, je refermais la porte de la chambre afin d’être tranquille un instant. Un instant très court vu qu’un zombie que je n’avais pas vu se leva du lit avant de me sauter dessus. Foutu bruit… Je roulais sur le sol en compagnie du monstre jusqu'à me retrouver bloquée contre le mur, le fusil à pompe c’était détacher par le choc… Il avait de la force le bougre. Je faisais en sorte de me tenir hors de porté de sa mâchoire tant qu’il se débâtait comme un beau diable pour m’approcher encore plus. Arrivant à placer mes pieds au niveau de son ventre, je donnai une impulsion assez forte pour le faire valser à quelques mètres de moi. Prenant rapidement mon colt, je lui tirai une balle dans la tête avant de me remettre de debout en allumant la torche qui se trouvait sur le canon de mon arme. Il n’y avait rien d’intéressant ici.

Sortant dans le couloir, je vérifiais qu’il n’y avait plus l’ombre d’un zombie avant de descendre au rez de chaussé. Il y avait une autre désagréable dans l’air comme cela qu’on ressent quand on ouvre une bouteille de gaz. Continuant à descendre les marches, je finis par arriver devant la réception où se trouvait un cadavre apparemment fraichement éliminé. Faisant le tour du comptoir quelque chose de brillant attira mon attention vers le sol. Un badge portant le logo de la multinationale. Me penchant pour le ramasser, je remarquais que les doigts de la personne étaient encore tièdes. Et vu son manque cruel de sang sur lui, il devait être encore humain lorsqu’on l’a tué. William Connor, contact publique.


GLaDOS : C’est le genre de personnes qu’on utilise pour présenter les nouveaux produits.

Mais qu’est-ce qu’il venait faire dans un hotel ? Je me mis à chercher ce qui devait ressembler à un attaché de caisse, une petite mallette pour présenter le contenu des produits. C’est alors que l’immeuble fut secoué de spasme pendant quelques secondes alors qu’on put entendre distinctement le bruit d’une explosion. Pourquoi est-ce que cela ne provoqua même pas une minute d’étonnement en moi ? Voulant entrer dans la pièce se trouvant derrière l’accueil, je me rendis compte que cette dernière était verrouillée de l’extérieur mais la clé n’était pas bien loin de moi, dans les doigts de la personne a qui appartenait la carte. Apès avoir déverrouillée la porte, je me retrouvais dans un petit bureau éclairé d’une lampe de chevet. Les papiers étaient éparpillés partout et la plupart étaient couverte de sang… Il devait avoir eu un combat ici, humain contre zombie pourtant il n’y a pas l’ombre d’un cadavre mise à part celui devant la porte. Où était passé l’autre ? La porte étant close, il devait surement être là mais il n’y avait rien. Balayant avec ma torche l’endroit, je me rendis compte que la plupart des papiers encore visible sur le sol portait tout le logo de la multinationale mais leur contenu était pour la majorité illisible.

Un bruit de feuille me fit tendre l’oreille en arrière…


(Je suis désolée j'ai un peu de mal et pas beaucoup de temps aujourd'hui, je ferais mieux ce soir! >.<)
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« Je pars comme un voleur. »





    Je descendais les marches lentement, l’oreille tendu prêt à saute sur ses abominations. J’étais toujours remonté, je n’aimais pas la violence, sauf contre le virus-T où là c’était tuer ou se faire bouffer. L’instinct de survie était supérieur à mes principes évidement. Quoique je peux me montrer violent contre les gens qui le sont sur une personne plus faible, physiquement et en nombre ou en arme, les lâches on le don de m’énerver rapidement, à part ça pas grand-chose pouvait m’énerver.

    Deuxième étage… rien, premier rien, j’étais au rez-de-chaussée. Je me dirigeai vers l’accueil, sans vraiment chercher Sally. J’y étais, et là je remarquais que la porte qui était fermée derrière le bureau de l’accueil était ouverte, je m’y dirigeais. Derrière le bureau je revis le cadavre du malade toujours conscient, je donnai un coup de poing sur le bureau tout en injuriant. Je passai la porte la salle était sans fenêtre, sans éclairage, je marchai sur des feuilles, des documents éparpillé au sol. Je vis une silhouette à travers le halo de lumière qui provenait de la porte derrière moi. Elle tenait une lampe torche c’était Sally qui m’observait.

    • Relax ce n’est que moi.

    Je me penchais et j’examinais les documents se trouvant près de la porte, vu que je n’avais pas de lampe torche et que c’était le seul endroit éclairé par la lumière de l’accueil. Je ramassais un tas de feuille au sol, et je les posais sur le bureau de l’accueil. J’estimai que mon tas de papier était suffisamment gros comme ça. Je me penchais sur le bureau et les regardait un à un rapidement. Je me munissais d’une feuille je la posais à côté, peu à peu un deuxième tas s’était formé sur le bureau. Je regardai et je posai à côté et ainsi de suite, de plus en plus vite. Et là tout d’un coup je m’arrêtai. Une feuille comportant le logo d’Umbrella Corp. Je retournai dans la salle munit de la feuille, et je la donnai à Sally.

    • Ceci pourrait t’intéresser. Je vais m’en aller, cet hôtel n’est pas en état de m’accueillir pour quelque temps. Je vais voir ailleurs, bonne journée.

    Je sortis de la salle obscure, et je me dirigeai vers la cuisine, pour passer par la porte que j’avais forcée, au lieu d’avoir à faire le tour pour retourner au parking. Je montai sur ma fidèle moto, je remontai la fermeture éclair de ma veste en cuir. Ca me donnait une silhouette plutôt fine, mais quand même musclé, juste ce qu’il faut, pas besoin de faire 2m et avoir 120 Kg de muscle quand on sait bien se battre. Je démarrai Jessica, et faisais chauffer le moteur pendant deux bonnes minutes.

    Je ne savais pas du tout ce que j’allais bien pouvoir faire, mais j’ai un réservoir plein, et du temps à perdre, je vais errer dans cette ville en attendant de trouver quelque chose à faire. Le moteur était enfin chaud, je me dirigeai lentement vers la sortie et j’accéléra une fois hors du parking.



HRP: Désolé pas vraiment d'humeur à faire un RP, j'ai fais ce que j'ai pu ^^
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